Mardi 08 janvier
Vous vous souvenez du jeu que je vous avais proposé le 08 décembre? En photo 11, il y avait un magnifique nœud papillon qu'Origamimi a identifié comme étant d'Alessandro Beber. On avait tous flashé dessus, alors on l'a plié sous la direction de Viviane. Il est du plus bel effet sur nos tenues.
Voyez si notre Jong est chic ainsi cravaté!
Et moi j'ai égayé ma coiffure
Pierre nous a ensuite fait découvrir un travail collectif tout droit sorti de l'OAS qui est le nom d'un groupe de plieurs Barcelonais (rien à voir donc avec la signification de ces initiales en français). C'est un bien sympathique cheval que je vous présente avec nos autres nœuds papillon.
Mais qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce que cela?????
Une ébauche de pliage? Une énigme à résoudre? Un casse-tête chinois? Un truc qui se mange?
Aïe aïe aïe! Et si je vous en agrandi un?

Vous voyez le carré blanc en haut à droite? Qu'est-ce ça peut bien être?
C'est que nous aussi on en a mis du temps avant de comprendre

À l'image des conférences gesticulées, Viviane nous a fait un pliage gesticulé. Entendez par là, mis en scène dans un sketch.
Sur notre feuille, toute plate, nous devions deviner un caméléon. Puis, quand on l’a vu, on a eu le droit de plier ses contours.
Voyez le petit carré blanc: c'est son œil.
La pointe toute à droite: c'est sa bouche.
La pointe replié en bas au milieu: c'est sa queue.
Vous le voyez maintenant?
Et donc, non, ce n'est pas un truc qui se mange

Mais je vous rassure, on avait apporté d'autres choses qui se mangent

Pendant les pliages nous avons fait circuler la boîte de caramels que j'avais faits

Et nous avons fait une pause pour savourer le pralin amoureusement cuisiné par Jong, sur des toasts grillés par Viviane

Pierre est déjà en train de croquer à belles dents, Jong prend le temps d'étaler son pralin sur toute la surface de sa tartine, et Clémence attend son tour l'eau à la bouche.
Et comme nous nous aimons tous très beaucoup fort, nous l'avons démontré avec ce pliage minimaliste de cœur, que nous a fait découvrir Vincent.
On est bien à Soupetard
